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    © 2025 GRIMSHAW

    Journal

    Souvenirs d’une carrière avec Nicholas Grimshaw

    07.10.2025

    Après plus de 40 années passées à travailler aux côtés de Nicholas Grimshaw, Andrew Whalley, Président de Grimshaw, revient sur le parcours de son fondateur, ses idées, sa créativité et sa passion. En retraçant l’histoire de l’agence depuis sa création en 1980 à travers ses réalisations emblématiques, comme le Terminal international de Waterloo ou encore Eden Project en Cornouailles, Andrew rend hommage à l’inventivité de Nicholas, à son engagement envers la profession et à son sens du métier.

    par Andrew Whalley

    par Andrew Whalley

    Cliquez pour lire l'article complet (en anglais) →  

    Au milieu des années 1980, lorsque j’ai rejoint l’agence de Nick Grimshaw, nous n’étions que douze architectes. C’était une petite équipe ambitieuse qui tentait de se faire une place dans un contexte difficile de récession économique. L’agence travaillait sur un portefeuille composé majoritairement d’équipements sportifs et d’infrastructures industrielles, auquel est venu s’ajouter un projet particulièrement marquant : le Sainsbury’s Superstore de Camden, à Londres.

    Le magasin de Camden illustre parfaitement le langage architectural développé par l’agence. Il se présente sous la forme d’une structure articulée complexe en acier, surmontée par une toiture voûtée de longue portée fixée au moyen de gerberettes en acier, un système qui évoquait déjà toute la clarté, l’inventivité et le potentiel expressif de la technologie industrielle. C’était exactement le genre d’architecture pour lequel je m’étais pris de fascination pendant mes études.

    Mais à l’époque, les règles d’urbanisme à Londres imposaient de recouvrir la structure en acier. Ce qui a permis de concrétiser le projet de Camden, c’est l’arrivée du Firec : un traitement ignifuge mis au point par Imperial Chemical Industries pour les plates-formes pétrolières et les centrales nucléaires. Cette innovation technologique a soudain permis aux architectes de repenser la place de la structure dans l’architecture.

    Je me revois encore admirer la maquette du bâtiment, la forme élégante de son ossature, pendant que je patientais à la réception en espérant décrocher un entretien. Nick était assis là, juste derrière la réception, dans un cube en verre porté par une structure en aluminium qui n’était pas sans rappeler les Meccano. Il portait des lunettes rondes à monture transparente qui lui donnait des airs d’inventeur savant. On m’a répondu que l’agence n’avait aucun poste à pourvoir, mais que je pouvais laisser mon book. Après l’avoir parcouru, Nick a finalement décidé de me trouver une place et m’a invité à rejoindre l’agence.

    Cette rencontre signait le début d’une longue relation, à la fois professionnelle et amicale, qui a duré quarante ans.

    Ingéniosité et invention

    Dès le début, ce qui m’a frappé chez Nick, c’est cette capacité innée qu’il avait pour concilier budget et ingéniosité. Ce qui guidait sa réflexion, ce n’était pas tant la quête d’extravagance, mais le souci de l’inventivité, d’où son parti pris de privilégier des techniques industrielles et des matériaux du quotidien, mis en œuvre de manière inattendue, avec efficacité et sensibilité.

    Pour l’usine Herman Miller de Chippenham, nous avons par exemple fait le choix d’habiller le bâtiment avec des plaques d’aluminium pressé, une solution à la fois pragmatique et élégante. Quelques années plus tôt, l’entreprise avait déjà fait appel à Nick pour son site de Bath, qu’il avait recouvert de panneaux de fibre de verre, une solution d’une grande flexibilité qui devait permettre au bâtiment de s’adapter à l’évolution des besoins. Dans un cas comme dans l’autre, ce ne sont pas de simples façades qu’il crée, mais de véritables enveloppes vivantes : une architecture qui envisage l’avenir pour mieux l’accueillir.

    Nick avait un don unique pour travailler main dans la main avec les industriels et les fabricants, et pour les persuader d’adapter leurs techniques aux contraintes de l’architecture. Il était habité par une curiosité sans bornes, un besoin irrépressible de comprendre comment les choses sont faites. En somme, il avait la passion du métier de bâtisseur. Mais au-delà de sa curiosité et de son imagination, il était aussi doué de persévérance et d’un talent sans pareil pour convaincre les autres non seulement de croire aux idées les plus audacieuses, mais aussi de reconnaître leur bien-fondé.

    J’ai pu en faire l’expérience personnelle lors d’une négociation à laquelle on m’avait demandé d’accompagner Nick pour représenter les intérêts du maître d’ouvrage. La discussion portait sur un projet livré quelque temps plus tôt pour le compte de Ladkarn. Il s’agissait d’un grand entrepôt constitué d’une ossature légère en acier conçue pour accueillir des engins de levage et des véhicules de construction ainsi que les bureaux de l’entreprise, avec une structure extérieure rouge vif inspirée par l’univers nautique. Mais le hasard a voulu que le bâtiment se retrouve en plein milieu de la zone visée par le programme de réaménagement de Canary Wharf, auquel il faisait obstacle. Le promoteur alors chargé du programme, G. Ware Travelstead, est donc arrivé dans sa limousine avec la ferme intention de convaincre Ladkarn d’abandonner le bâtiment. Mais Nick est parvenu à négocier une solution inattendue. Il s’agissait simplement de démonter le bâtiment et de le remonter ailleurs : le client a ainsi obtenu un nouveau site, assorti d’une généreuse compensation financière. Une belle leçon de pragmatisme, de détermination et de persuasion.

    Les années 1980 : chantiers éclair et logique assumée

    Au cours de la seconde moitié des années 1980, les projets se multiplient, tous avec des calendriers serrés. Alors que les années Thatcher battent leur plein, le post-modernisme domine la culture architecturale et Londres voit fleurir les tours des spéculateurs. À contre-courant de ce climat, Nick choisit une autre voie : une pratique ancrée dans la logique, la lisibilité et la précision industrielle.

    Le principe est simple : donner plus d’ampleur à la structure, simplifier l’habillage et laisser le budget déterminer l’expression.

    Le magasin Homebase de Brentford, livré après tout juste 18 mois, en est la parfaite illustration : une vaste structure à plan ouvert stabilisée par des armatures extérieures en forme d’aile. Pour l’habillage des façades, on opte pour des feuilles d’aluminium standard, retravaillées à la profileuse pour obtenir ce rendu ondulé particulier. L’alliance de la maîtrise des coûts et d’un design impactant.

    L’imprimerie du Financial Times dans le quartier Docklands de Londres a poussé cette approche encore plus loin. Conçu et construit en tout juste neuf mois, le projet dévoile ses presses derrière un mur en verre large de 96 mètres, maintenu par des ailerons en acier évoquant les mâts d’un bateau. Chaque soir, les usagers de la ligne DLR du métro londonien sont ainsi aux premières loges pour voir sortir des presses l’édition du lendemain. Jean Muir décrit d’ailleurs le bâtiment comme « un écrin à bijoux serti ». La fonction industrielle fait son entrée sur la scène urbaine.

    La force de l’idée

    Au sein de l’agence, la hiérarchie est quasiment inexistante. Grimshaw cultive un système méritocratique : la valeur de chacun se mesure à l’aune de ses idées et chacun peut apporter sa contribution. C’est une ambiance forgée par la personnalité de Nick, qui est à la fois amical, sociable et ouvert à la collaboration.

    Cette culture trouve ses racines dans l’histoire personnelle de Nick. Né en 1939 à Hove, sur la côte sud de l’Angleterre, il est le fils d’un ingénieur aéronautique et d’une artiste. Après la mort de son père, qu’il perd très jeune, il est élevé par sa mère et sa grand-mère, toutes deux artistes. Leur tendresse et leur créativité forgent son regard et sa personnalité.

    Dans les années 1960, il fait ses classes à l’Architectural Association, où il se forme auprès de la génération Archigram. Il décide ainsi de présenter son mémoire de fin d’études, intitulé « Une revisite modulaire et métabolique de Covent Garden », sous la forme d’un film d’animation en stop motion, des décennies avant que la technique ne soit popularisée. Un choix qui laisse déjà présager de sa fascination pour l’adaptabilité et la biomimétique.

    Sa première commande, la Tour de service de Paddington, cristallise cette philosophie : des cabines préfabriquées et aménagées en salle de bain sont disposées en spirale autour d’une colonne technique centrale, le tout adossé aux logements existants. Sculptural et mécanique, ce projet est une belle démonstration d’ingéniosité architecturale, mais aussi un manifeste pour la réutilisation adaptative, bien avant que le terme ne fasse son entrée dans notre vocabulaire.

    Collaboration et reconnaissance

    Au cours des années 1970, Nick s’était associé à Terry Farrell. Mais leur collaboration prend fin au tournant des années 1980 en raison de sensibilités divergentes : Farrell tendant plutôt vers le post-modernisme alors que Nick s’affirme comme résolument moderniste.

    À la fin des années 1980, les critiques classent Grimshaw aux côtés de Foster, Rogers et Hopkins dans le groupe des « High-Tech Four ». Pourtant, le travail de Nick se rapproche davantage de l’esprit de Jean Prouvé ou des grands ingénieurs du XIXe siècle, dont Paxton et Brunel : pragmatique, inventif et humain.

    En 1988, sa carrière prend un nouveau tournant avec l’exposition Product + Process organisée par RIBA, qui présente non seulement des dessins et des maquettes, mais aussi des composants architecturaux à taille réelle utilisés sur certains projets de l’agence. L’événement donne ainsi corps à l’idée, dont Nick était intimement convaincu, que le produit de l’architecture est aussi important que son processus créatif. L’exposition fait parler d’elle justement au moment où British Rail cherche un architecte pour concevoir le terminal de la ligne ferroviaire du futur tunnel sous la Manche.

    Waterloo : un projet décisif

    Le choix de nous positionner sur ce projet était osé pour une petite agence comme la nôtre. Nous n’avions alors aucun outil de CAO à notre disposition, uniquement des machines à écrire et un fax. Nous n’avions alors pas non plus les moyens d’acheter un ordinateur central. Sur les conseils de Ron Herron, membre d’Archigram, Nick fait donc le choix d’équiper les bureaux d’ordinateurs Apple. À cette époque, le pari semble fou, mais il nous confère finalement un avantage décisif.

    Le chantier est achevé en seulement 36 mois. L’immense voûte de verre et d’acier reprend la dimension spectaculaire des grands halls de gare, tout en respectant les contraintes qu’impliquent l’aménagement d’un terminal international. Comme le dira plus tard Norman Foster : « Dans chacune des réalisations magistrales de Nick, on retrouve cette intégration des enjeux techniques : la structure se fait architecture et l’architecture est structure. Il en résulte une impression de pureté. C’est particulièrement évident lorsqu’on circule autour de la gare de Waterloo, c’est quelque chose que l’on le ressent dans les belles courbes de sa toiture ».

    Le terminal de Waterloo remporte le Prix RIBA du bâtiment de l’année ainsi que le Prix Mies van der Rohe. Mais au-delà de ces récompenses, le projet démontre surtout la capacité d’une petite agence pleine de ressources à réaliser l’une des infrastructures les plus marquantes de son époque.

    C’est aussi le projet dont Nick a toujours été le plus fier.

    Développement durable et Exposition universelle de 92

    En pleine effervescence sur le projet de Waterloo, nous avons également été retenus pour concevoir le Pavillon britannique de l’Exposition universelle de 1992 à Séville. Le premier croquis qu’esquisse Nick annonce déjà tout l’esprit du projet final : panneaux photovoltaïques, murs de cascades d’eau, couverture légère en toile. En pénétrant dans le bâtiment, les visiteurs laissent derrière eux la chaleur étouffante du soleil andalou et découvrent un espace au climat contrôlé naturellement.

    C’est l’un des premiers projets à exploiter les énergies renouvelables et les principes de l’architecture bioclimatique pour un bâtiment public de cette envergure. Il marque pour Nick le point de départ d’une aventure qui, depuis quarante ans, nous a amenés à explorer tous les enjeux du développement durable.

    Ouverture internationale — Berlin

    La fin des années 1980 amène de profonds bouleversements, avec la chute du Mur de Berlin et la réunification de l’Allemagne, qui reprend pour capitale Berlin, une ville fragmentée et à reconstruire. C’est dans ce contexte que Grimshaw est invité à participer au concours pour l’édification du Ludwig Erhard Haus, nouveau siège de la Chambre de commerce allemande. Le projet présenté permet de maximiser le volume intérieur malgré des contraintes importantes en termes de hauteur et de luminosité, ce qu’aucune autre équipe n’est parvenue à faire. La courbure du bâtiment pose plusieurs défis en termes de construction, résolus au moyen d’une ossature d’arches en acier. Cette structure à l’allure acrobatique permet de suspendre les plateaux aux piles des arches, afin de créer un espace généreux au plan libre au rez-de-chaussée : un parti pris audacieux pour ouvrir le bâtiment sur la ville. Ce projet signe le début d’un nouveau chapitre pour Grimshaw, qui dès lors s’oriente davantage vers la conception de bâtiments publics dans des contextes urbains complexes.

    C’est également à partir de ce moment que nous commençons à intervenir plus souvent sur des bâtiments existants ou classés, comme c’est le cas pour le plan directeur du programme de réaménagement de la gare de Paddington, conçue par Brunel. L’idée de travailler sur l’un des plus beaux bâtiments d’un grand nom de l’architecture britannique était une chance inouïe pour Nick. Et alors que le chantier touchait à sa fin, nous faisions souvent des allers-retours entre Paddington et les Cornouailles pour suivre l’avancement d’un autre projet mémorable : Eden Project.

    Le nouveau millénaire

    Le fonds de financement de la National Lottery permet l’émergence de nouveaux projets au Royaume-Uni comme le National Space Centre à Leicester, le palais des congrès Millenium Point à Birmingham ou encore les thermes de Bath. Pour chacun d’eux, les équipes doivent trouver le juste équilibre entre audace et sensibilité selon le contexte : du choix des dômes en matériau ETFE (Éthylène tétrafluoroéthylène) pour abriter les fusées à Leicester au principe du cube en pierre suspendu au-dessus d’un bassin à Bath, ville classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Mais parmi tous ces projets, l’un d’eux a marqué les esprits plus que les autres : Eden Project, en Cornouailles. Si l’équipe s’est d’abord orientée vers une structure charpentée à longue portée, le design a évolué pour prendre finalement la forme d’une série de dômes en matériau ETFE écologique haute performance, imbriqués les uns dans les autres, comme des bulles de savon épousant les contours irréguliers du site. Finalisé en 2001, Eden Project jouit aujourd’hui d’une réputation internationale, qu’il doit non seulement à son architecture, mais aussi à sa contribution importante à la vie économique et culturelle locale. Depuis son ouverture, le centre a accueilli des millions de visiteurs et attiré plus de 2 milliards de livres d’investissement pour la région.

    C’est aussi l’époque où l’agence se développe à l’international. Un premier studio ouvre à New York en 2001, puis à un autre à Melbourne et de nouveaux projets voient le jour, à l’image d‘EMPAC (Experimental Media and Performing Arts Center), à Troy, dans l’état de New York, qui conjugue élégamment performance acoustique et création artistique expérimentale, ou encore l’usine IGUS à Cologne, véritable « cathédrale industrielle » modulable et baignée de lumière.

    Assurer l’avenir et consolider son héritage

    En 2002, Nick est anobli. Deux ans plus tard, il est élu Président de la Royal Academy of Arts, qui fait alors face à des difficultés financières et des problématiques de gouvernance.

    Par ailleurs, il assure aussi sa succession en modifiant les statuts de l’agence, qui adopte dès 2007 une forme de LLP (partenariat à responsabilité limitée), ouvrant ainsi le capital aux nouvelles générations. Au-delà des enjeux juridiques, le changement se ressent aussi sur la culture d’entreprise : c’est la reconnaissance que Grimshaw n’est plus l’agence d’un seul architecte, mais un réseau de studios internationaux.

    Les récompenses ne tardent pas à arriver. En 2019, il reçoit la Médaille d’or RIBA. Norman Foster le décrit comme un homme « déterminé, appliqué, constant ». Le journaliste et présentateur britannique Jon Snow dit de lui qu’il « a réellement l’ambition de transformer le monde pour l’humanité ; il veut améliorer le quotidien des gens par le bâti ».

    En 2022, il lance la Fondation Grimshaw, dont la vocation est d’accompagner vers les métiers de la création les jeunes issus de minorités sous-représentées. Cette initiative est le prolongement naturel de sa conviction que l’architecture est au service de la société ; et que la profession doit être à l’image de ceux pour qui elle œuvre.

    La beauté parl’ingéniosité

    Depuis la Tour de service de 1968 jusqu’à la nouvelle ligne Elizabeth du métro londonien en 2022, Nick Grimshaw a toujours su conjuguer pragmatisme et imagination, sobriété et élégance, inventivité et joie. Son architecture ne s’est jamais embarrassée des apparences et des tendances ; pour lui, le plus important a toujours été la structure, les savoir-faire et les usages.

    Cet esprit d’inventivité est aujourd’hui au cœur de l’ADN de l’agence. C’est un héritage durable que nous devons à Nick : le choix de croire que c’est de l’ingéniosité que naît la beauté.

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